Confronté à la mort de proches ou d’amis, je me suis aperçu qu’à chaque fois cela me renvoyait à ma vie, à un besoin fort de lui donner sens en prenant conscience d’une finitude certaine et par là même à comment j’aimerais la terminer, comment me préparer à ce passage.
J’ai ainsi découvert que parler de la mort, c’était avant tout parler de la vie. De celle de la personne qui s’apprête à franchir le passage, tout comme de celles et ceux qui vont rester.
Travailleur social, j’ai eu l’occasion de monter plusieurs projets et d’accompagner des personnes d’horizons divers dans toutes sortes de situations de la vie et parfois jusqu’à la mort.